L’été 2023 a été marqué par des événements climatiques extrêmes tant au Québec qu’ailleurs dans le monde. Ici même en Montérégie, nous avons reçu des quantités de pluie beaucoup plus élevées qu’à la normale.
Ces pluies diluviennes qui se sont abattues à plusieurs reprises pendant le mois de juillet dernier ne sont pas sans risques au bon déroulement du chantier, voici pourquoi.
Les fortes précipitations de pluie peuvent causer d’importants dégâts et freiner l’avancement des travaux d’un projet de construction.
Prévenir les risques de perturbation sur le chantier
Face aux caprices de la météo, Pomerleau s’est rapidement doté d’un système de pompes ainsi que de bassins de rétention des eaux pluviales.
On vous dit tout.
Quand un chantier occupe une surface aussi étendue que celui du futur hôpital de Vaudreuil-Soulanges, on s’attend à ce que la présence de pluie puisse causer des accumulations qui détremperont le sol et nuiront à l’avancement des travaux. Cela fait partie des éléments à considérer dans la planification. Ainsi, on construit des bassins, creusés à l’aide d’équipement d’excavation et de terrassement, pour recueillir l’eau et permettre aux sédiments de se déposer.
Le résultat : les pluies n’ont pas ralenti la cadence des travaux, ce qui n’aurait certainement pas été le cas si l’eau s’était accumulée sur le chantier.
Le saviez-vous?
Une grande importance est accordée à tout ce qui concerne la gestion des matériaux sur le chantier. Bien que le chantier ne génère pas beaucoup de matières résiduelles devant être recyclées, un suivi rigoureux est important.
À l’heure actuelle, Pomerleau récupère surtout le sol qui provient de l’excavation et qui pourra aussi servir à nouveau lors des travaux de terrassement.
Les coffrages, utilisés pour la structure et les dalles de béton, sont des panneaux réutilisables.
